33 - BORDEAUX
Office de tourisme de Bordeaux

Bordeaux est une commune du Sud-ouest de la France, en région Aquitaine, située en bordure des Landes de Gascogne, près de la côte Atlantique à 51 km d'Arcachon. Ses habitants sont appelés les Bordelais. La ville est connue dans le monde entier pour son vignoble. L'origine de Bordeaux provient de l'ancien pluriel de Bordel (langue d'oïl, petite cabane) qui donne au XVIIIe siècle Bourdeaux puis Bordeaux.

Ville d’art

Le label "Ville d’art" est obtenu en 1975 par la ville de Bordeaux.  Ce label a été remplacé par celui de "Ville d’art et d’histoire" en mars 2006 rejoignant ainsi le réseau très dense de près de 130 villes en France, géré par l’Association Nationale des Villes et pays d’Art et d’Histoire.

Villes d’art et d’histoire est un label officiel français attribué depuis 1985 par le Ministère de la Culture aux communes ou pays de France qui s’engagent dans une politique d’animation et de valorisation de leurs patrimoines bâti, naturel, et industriel, ainsi que de l’architecture. A Bordeaux, il atteste de la politique de qualité menée en matière de conservation du patrimoine, de création architecturale et d’aménagement urbain, distinguée notamment par l'inscription sur la liste du Patrimoine mondial. D’autres actions sont tournées vers les touristes et sont menées dans le cadre d’une collaboration étroite avec l’Office de tourisme. Également très attachée à la sensibilisation et la formation du jeune public, la ville souhaite renforcer les actions patrimoniales déjà en place (ateliers, animations, visites scolaires…).

Grand Théâtre

En 1756, année au cours de laquelle un incendie détruit la salle de spectacle qui s'élève sur les fossés de l'Hôtel de Ville, la ville de Bordeaux ne possède plus de théâtre. Trois hommes vont conjuguer leurs efforts pour donner à la capitale de la Guyenne un monument qui soit digne d'elle : le Maréchal de Richelieu, gouverneur de la province ; Dupré de Saint-Maur, intendant de la généralité ; Victor Louis, architecte qui a usé de tout son talent pour offrir harmonie, raffinement, sobriété, puissance, pureté, élégance à son œuvre...  .

C’est le 7 avril 1780, qu’est inauguré le Grand-Théâtre, un véritable chef-d'œuvre de l'art architectural du XVIIIe siècle. À la valeur esthétique de l'ouvrage s'ajoute l'acoustique exceptionnelle de la salle due à la carcasse de bois qui l'enveloppe.

Le Grand Théâtre présente en vue frontale un portique de 12 colonnes corinthiennes au-dessus desquelles sont alignées 12 statues : les 9 muses et trois déesses de la mythologie antique. Ces sculptures ont été imaginées par Pierre Berruer. Dès les portes du Grand-Théâtre franchies, on pénètre dans un large vestibule orné de 16 colonnes doriques soutenant une voûte plate à caissons et rosaces. 5 arcades permettent d’accéder au grand escalier. La porte d’apparat devant laquelle l’escalier se divise laisse admirer deux merveilleuses cariatides sculptées par Berruer.  Habillée de bleu, de blanc et d’or (couleurs de la royauté) et marbre blanc, la salle de spectacle peut accueillir plus de 1100 spectateurs. C’est au peintre Jean-Baptiste Robin que fut confié, à la fin du XVIIIe siècle, le soin d’orner la coupole de la salle de spectacle sous le thème « Apollon et les muses». Le lustre actuel fut installé en 1917 d’un poids de 1,2 tonnes, il est constitué de cristaux de Bohème et riche de 400 lampes. Le Grand Théâtre de Bordeaux accueille les artistes les plus célèbres. De plus, de multiples œuvres lyriques sont créées sans oublier les ballets.

Classé monument historique, l'ouvrage de 88 mètres sur 47 de style néo-classique, s'inscrit dans l'opulent urbanisme bordelais hérité du siècle des Lumières.

UNESCO

Le 28 juin 2007, l’Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) a inscrit Bordeaux, Port de la Lune, sur la liste du Patrimoine mondial au titre d’Ensemble urbain exceptionnel. La distinction de ce vaste périmètre de 1810 hectares est une première. Le centre historique de cette ville portuaire avec le Port de la Lune constitue un exemple exceptionnel d’échange d’influences sur plus de 2 000 ans par son rôle de capitale d’une région vinicole de renommée mondiale, et par l’importance de son port dans le commerce régional et international. Paris exclu, c’est la ville française qui compte le plus de bâtiments protégés.

Bordeaux compte ainsi plus de 350 édifices classés ou inscrits aux Monuments Historiques, dont 3 édifices religieux inscrits au Patrimoine Mondial depuis 1998 au titre des chemins de Saint Jacques de Compostelle. L’urbanisme et l’architecture de la ville sont le fruit d’extensions et de rénovations ; concrétisé par le ravalement des façades, l’aménagement des quais en bord de Garonne, la mise en service du tramway alimenté par le sol, la requalification des espaces urbains venus renforcer cette volonté de protection et de mise en valeur du patrimoine bordelais.

Pour toutes les villes ou zones classées, l’inscription au patrimoine mondial a eu un effet très bénéfique sur la fréquentation touristique dans les années qui ont suivi. Être classé au titre du patrimoine mondial n’est pas une fin en soi. L’Unesco demande aujourd’hui aux candidats, de s’engager à préserver et à transmettre aux générations futures un patrimoine bâti et immatériel exceptionnel et à se doter des moyens humains, juridiques et financiers de le faire.

Place de la Bourse

En 1728, L'architecte Gabriel dessine les plans de la place de la Bourse, ancienne Place Royale dédiée à Louis XV. Trois parties, de style versaillais, forment cet ensemble entourant la place. La place aurait été construite sur le modèle de la place Vendôme. A l'origine, elle abritait une statue de Louis XV, mais celle-ci fut enlevée et fondue pendant la révolution. L'emplacement de la fontaine fut comblé en 1869 par la fontaine des Trois Grâces que l'on peut admirer aujourd'hui. La Place de la Bourse est constituée au nord par le Palais de la Bourse (l'actuelle CCI) et au sud l'Hôtel des Fermes (actuellement les Douanes). Les façades sont ornées de nombreux mascarons dont certains rappellent le passé mouvementé de la "traite des noirs". On peut également y voir des représentations de Nepture, du Temps et de la Vérité.

La Place de la Bourse est l'un des plus beaux ensemble français de la fin du XVIIIe siècle. Ca façade majestueuse s'étale devant la Garonne et l’un des plus grands miroirs d'eau du monde, espace d'eau de 100 m de long, pensés par le fontainier Jean-Marx Llorca. Ces fontaines scénographiées permettent de faire apparaître des effets alternant brouillard et jeux d'eau. En fait de miroir, il s'agit d'une dalle de granit de 130 mètres de long et d'une largeur de 42 mètres qui lorsqu'elle n'est pas recouverte d'eau peut ressembler à une ardoise géante. Elle est désormais l'un des lieux de promenade préférés des Bordelais. Élément essentiel du nouvel aménagement des quais de Bordeaux dû au paysagiste Michel Corajoud, le jardin des Lumières encadre le déjà célèbre miroir d'eau, face à la place de la Bourse. Le jardin des Lumières comporte 223 plates-bandes parallèles à la Garonne. Au total, près de 33 000 plantes sont installées sur ce jardin.

Depuis plusieurs années, la place de la Bourse accueille de nombreux paquebots qui viennent s'amarrer devant la plus belle perspective de la ville. La place de la Bourse est le point central de la fête du fleuve toutes les années impaires.

Porte Cailhau

La porte Cailhau ou porte du Palais,  classée monument historique le 28 mai 1883, est située sur les quais de Bordeaux, pratiquement à égale distance entre la porte de Bourgogne et la place de la Bourse.

Le nom de la tour rappelle les cailloux qui étaient accumulés à ses pieds par la Garonne et qui servaient à lester les navires. Plus probablement, elle évoque la grande famille bourgeoise bordelaise médiévale des Cailhau qui donna plusieurs maires à la ville (XIIIe - XIVe siècles).

Erigée à la fin du XVe siècle (1493-1496), elle commémore la victoire de Charles VIII lors de la bataille de Fornoue contre les italiens.

C’est un monument de transition gothique-Renaissance: mâchicoulis le long de tout le périmètre de la tour, herse, lucarnes et meurtrières trahissent son caractère défensif directement hérité du Moyen Âge. Accolades au-dessus des fenêtres à meneau, toiture élancée aux élégantes tourelles ou encore dais flamboyants au-dessus des niches annoncent déjà un caractère plus décoratif propre à la Renaissance.

Sur sa façade, côté quais, on peut voir au centre un écusson à fleurs de lys porté par deux anges. On y trouve également plusieurs statues : Charles VIII, Saint-Jean l'Évangéliste et le Cardinal d'Epernay, archevêque de Bordeaux.

Avec sa toiture, la porte atteint 35 m de haut. Elle faisait office à la fois de porte défensive et d'arc de triomphe.

Monument aux Girondins

Le monument aux Girondins se trouve sur la place des Quinconces, tout proche du Grand Théâtre et des allées de Tourny et fait face aux colonnes Rostrales en bordure de Garonne.

On parle de "monument des Girondins", ou de "colonne des Girondins" en référence à la colonne surmontée de l'ange de la liberté qui le rend visible en de nombreux points de la ville. Il comprend un ensemble de fontaines composé entre autres d'imposants chevaux, appelés couramment "chevaux des Girondins" ou "fontaine des Girondins".

Le concepteur du monument est Alphonse Dumilâtre né à Bordeaux en 1844, et c'est la persévérance de l'architecte Victor Rich qui permettra à l'ensemble d'être terminé 8 ans plus tard (entre 1894 et 1902) sur l'ancien emplacement du "château Trompette".

Le monument a en son centre une colonne haute de 43m sur laquelle repose une "femme oiseau" célébrant la "République triomphante". Cette statue de bronze de 11m tournée vers le centre-ville de Bordeaux représente le Génie de la liberté brisant ses fers (chaines).

Plus bas, côté allées de Tourny, on peut voir trois femmes. La plus élevée symbolise Bordeaux, les deux autres la Garonne et la Dordogne.

A l'opposé, côté Garonne on remarque au centre le Coq Gaulois encadré par deux autres femmes représentant l'Eloquence et l'Histoire.

Le paradoxe de ce monument érigé à la mémoire des Girondins tient donc dans l’absence de cette représentation des Girondins.

Le Pont de Pierre

Le pont de pierre aussi appelé pont Napoléon, situé dans le prolongement du cours Victor Hugo et de la porte de Bourgogne, est le premier pont de Bordeaux qui a permis de traverser la Garonne pour relier le centre-ville aux quartiers de la rive droite. Œuvre de Claude Deschamps, la première pierre a été posée en décembre 1812, et c'est le premier mai 1822, soit dix ans plus tard, que le pont de pierre est enfin inauguré. Lorsqu'on parle de pont "de pierre", il convient de noter que si les piliers et les arcs sont effectivement en pierre, les voutes comportent elles des briques qui donnent au pont sa teinte rougeoyante. Le pont de pierre compte 17 arches en forme d'anse de panier sur 500 m. Pour l'anecdote, on retiendra que le nombre d'arches correspond au nombre de lettres utilisées pour écrire "Napoléon Bonaparte".

En voyant le pont de pierre et son aspect robuste, on n'imagine pas qu'il puisse être creux à l'intérieur. Pourtant, il comporte un certain nombre de cavités, de passages et autres galeries. Tout en abritant les différents capteurs et appareils de mesures, ces espaces sont utilisés par les techniciens assurant la maintenance du pont.

Jusqu'en 1863, le passage était payant aussi bien pour les piétons que pour les cavaliers. Il fallait régler un sou lorsqu'on était piéton et 5 sous lorsqu'on était cavalier. L'addition grimpait encore pour les calèches et autres équipages.

C'est à l'occasion de l'élargissement du pont qui est passé de 15 à 20 m en 1954, qu'ont été rasés les deux bâtiments de l'octroi (gare de péage de l'époque). Le pont de pierre permet aujourd’hui le passage du tramway et constitue également un élément de choix dans le décor lors d'évènements tels que la fête du fleuve ou la fête du vin. Il est également utilisé comme pas de tir pour les fusées de feux d'artifice.

Le Pont Chaban Delmas

Il s'appelle le pont Chaban Delmas en hommage à l'ancien maire de la ville mais les Bordelais l'appellent le pont Ba-Ba, ce qui est plus affectueux et plus familier car il fait le lien entre les quartiers de la Bastille et de Bacalan d'où le Ba de Bastille et le Ba de Bacalan !

Le mécanisme de levage se cache en haut de chacun des pylônes. Une poulie XXL entraîne un câble relié d'un côté à la travée, de l'autre à un contrepoids de 600 tonnes. Simple et efficace. Le poids à porter est fortement allégé. Il suffit de 2 moteurs de la puissance de deux voitures de 180 chevaux.

A moindre effort, le pont se lèvera 60 fois par an. Il sera fermé à la circulation d'une heure à deux heures et demie pour des raisons de sécurité. Mais la levée comme la descente de la structure ne dureront pas plus de 11 minutes chacune. 

Pas de panique pour ceux qui voudront emprunter le pont. Une application pour mobiles et un site internet renseigneront en temps réel du trafic et les dates de levées du pont seront connues à l'avance. 

Heurtoirs du XVIIIe siècle

C'est au 18e siècle que Bordeaux connaît son apogée grâce à une formidable expansion commerciale et démographique.

Des embellissements de la ville furent réalisés en partie grâce aux intendants Boucher et Tourny qui firent de la cité médiévale une ville moderne. La façade des quais, la place de la Bourse et le Grand-Théâtre sont des symboles de l'architecture du 18e siècle qui marquent la physionomie actuelle de la ville.

Le XVIIIe siècle voit également se développer à Bordeaux l'art de la ferronnerie. Balcons, grilles, rampes d'escalier, heurtoirs en fer forgé démontrent le goût des arabesques dans l'ornementation baroque du style Louis XV et la qualité des artisans bordelais. Ces décorations se perpétuent au long du XIXe siècle.

Les heurtoirs bordelais qui ornent les portes des anciens hôtels particuliers, maisons bourgeoises et autres maisons sont de véritables joyaux du Patrimoine de Bordeaux. Ces heurtoirs sont presque devenus un emblème de Bordeaux. On les retrouve sur des publicités  et font l'objet d'expositions. Les heurtoirs bordelais les plus célèbres sont ceux en "pattes de grenouille" (XVIIème s.) ou "boucles de gibecière" (XVIIIème s.)

L'hôtel de Lalande, actuel Musée des Arts décoratifs, possède une porte cochère garnie d'un lourd heurtoir en boucle sur platine découpée et d'un riche ensemble de serrurerie encore en place. Les ferrures et le heurtoir datent de 1777.

Ils sont d’abord fabriqués de différentes formes : main, anneaux, marteau, animaux.... par le forgeron du village et assez rustiques, mais, dès le XII° siècle, les pièces commencent à se styliser sous le travail du sculpteur ciseleur qui répète le même motif de petite dimension. Jusqu’au XVII° siècle, ils sont essentiellement en fer forgé, pour devenir en bronze au XVIII°, puis en laiton et en acier au XIX° siècle, pour des raisons évidemment économiques. Ils commencent à disparaître au XVIII° siècle au profit de la sonnette à tirage et de la cloche.

Porte de la Monnaie

Bordeaux, quelque peu isolé de son fleuve, comptait dans sa période fortifiée un grand nombre de portes médiévales qui ont été détruites par la suite.

Afin d'ouvrir la ville, et sous l'impulsion de l'intendant Tourny, il a été bâti plusieurs nouvelles portes dont subsistent aujourd'hui les portes d'Aquitaine, de Bourgogne, Dijeaux et porte de la Monnaie. On peut également encore voir la Grosse Cloche et la porte Cailhau vestiges du XIIIe et du XVe siècle.

La porte de la Monnaie est située sur les quais de la Monnaie, à mi-distance entre le pont de pierre et le Pont Saint-Jean, et à quelques pas du conservatoire de musique.

Le début de sa construction remonte au 19 janvier 1758 et fut achevée le 25 juillet 1759.

La porte est en forme d'arc de triomphe. Elle est plus petite et plus sobre que les autres portes de Bordeaux.

Le nom donné à la porte vient de l'atelier de la monnaie qui venait d'être déplacé de l'ancien Hôtel de la Bourse à proximité de l'endroit où fut érigée la porte (aujourd'hui l'établissement de la monnaie se situe à Pessac) et la rue pris le même nom avec des orthographes différentes selon les périodes successives (Porte de la Monnoye, puis Porte de la Monnoie, à Porte de la Monnaie).

L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 12 avril 1965.

 

 

Nouveau Stade Bordeaux

Le stade Matmut Atlantique, est un stade multifonctions, inauguré le 

Photos : © Coyau, Gibi44, Sylvain Machefer sur Wikimedia Commons / Christophe Eyquem sur freemages.fr / Hélène LAFON pour medailles-passion.fr

 

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BORDEAUX

2003
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Bordeaux / Ville d'art

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BORDEAUX

2006 MDP
2007
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Le Grand Théâtre / Bordeaux

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BORDEAUX

2008 EVM
2009 EVM
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Bordeaux / Patrimoine mondial / UNESCO 2007

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BORDEAUX

2010 EVM
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Bordeaux / Place de la Bourse

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BORDEAUX

2011 EVM
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Bordeaux / Porte Cailhau 1494

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BORDEAUX

2012
2016 R20A
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Monument aux Girondins - Bordeaux

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BORDEAUX

2012
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Le Pont de Pierre / Bordeaux

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BORDEAUX

2013
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Pont Chaban Delmas / Bordeaux

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2014
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Heurtoir XVIIIe siècle / Bordeaux

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2014
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Rue Porte de la Monnaie - 1758 / 1150 ans

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2015
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Nouveau stade / Bordeaux

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2017
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Beffroi de la Grosse Cloche / Bordeaux / XIV-XV S.

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2018
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Bordeaux fête le vin / 20 ans / 14/18 juin 2018

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2019
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Eglise Notre-Dame . Bordeaux

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Renseignements d'ordre général

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33080 BORDEAUX cedex

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