43170 SAUGUES		43 - SAUGUES La Bête du Gévaudan 1767 - Auvers - 2017
2017
La Bête du Gévaudan / 1767 - Auvers - 2017
En vente

43170 SAUGUES		43 - SAUGUES Musée fantastique de la Bête du Gévaudan
2009 EVM
Musée fantastique de la Bête du Gévaudan
Epuisée

Aux confins de 3 départements : la Haute-Loire, la Lozère et le Cantal, le Pays de Saugues s’étend du plateau granitique de la Margeride (1484 mètres d’altitude) aux gorges profondes et sauvages de l’Allier (599 mètres).

Ancienne place forte du Gévaudan, elle s'est développée dès le XII^e siècle sous l'autorité des évêques de Mende et des seigneurs de Mercœur ; les modernisations successives de la ville ont effacé les traces des fortifications médiévales, seule subsiste une imposante tour du XIII^e siècle ; le centre historique fut dévasté par un incendie en 1788. C'est dans les montagnes des alentours et près de Saugues que sévit à la veille de la Révolution, la fameuse bête du Gévaudan, de sinistre mémoire.

Le Musée a ouvert ses portes dans le village de Saugues au cœur de la Margeride auvergnate. Créé par l’association Macbet en 1999.

Sur 400 m², le musée scénographique vous relate l'histoire la plus terrifiante et mystérieuse du XVIIIe siècle, en trente-cinq minutes inoubliables, par le biais de 24 tableaux saisissants des lieux et des événements mettant en scène les villages du Gévaudan et les soixante-huit différents personnages grandeur nature dans des costumes et des décors réalistes comme l’Évêque de Mende, les Dragons du Roi, la cour de Louis XIV, le colporteur Pierre de Gabale, l'aubergiste et la religieuse du couvent des Chazes.

Loup-garou, monstre dressé par un meurtrier, sorcier… Tout commence le 30 juin 1764 lorsque Jeanne Boulet, une jeune fille de 14 ans du village des Hubas est attaquée en plein jour dans le pâturage où elle gardait un troupeau de vaches par un animal. Les blessures, jugées inhabituelles, suggéraient plutôt une "bête" hors du commun. La mystérieuse Bête a tué plus de cent personnes au XVIIIème siècle.

Toutes les hypothèses sont envisagées. Des battues sont organisées et effectuées par les Dragons du roi. Mais sans résultat et les attaques continuent.

Le 19 juin 1767, Jean Chastel, un homme du pays, tue une bête qui semble être un loup extraordinaire du fait de sa figure et de ses proportions bien différentes des loups environnants. Cette mort met alors un point final à cette affaire qui hante aujourd'hui encore les esprits. Le mystère reste entier.